Elle avait accepté de ne pas voir son nouveau Maître

Catégories : Femmes soumises SM camisole
il y a 2 ans

"Je te fais confiance, à demain..." Je quittais Véro sur cette phrase, elle venait de signer le pacte qui nous unira pour plusieurs mois. Véro est une jeune femme de 35 ans, elle a encore une allure de jeune fille avec ses cheveux blonds, son petit nez et sa petite poitrine. Je la connais depuis 15 jours, nous ne nous sommes pas encore rencontrés, mais elle veux devenir ma soumise, pas seulement au téléphone, mais dans la vie. Nous avons rendez-vous demain après midi. Devant l'église d'un village de Seine et Marne, près de Melun.

Le contrat est simple, elle doit obéir à tous mes ordres, ce contrat durera tant que nous y prendrons tous les deux du plaisir. En contrepartie de cette obéissance aveugle, je veille sur elle, la protège. Le maître a aussi des devoir envers son esclave. 5 minutes avant l'heure prévue, le lendemain, j'ai stationné ma voiture devant l'église, portes déverrouillées. Je me suis mis en retrait derrière le mur du cimetière jouxtant l'église, le village est désert comme me l'avait prédit Véro. 14 heures, je l'aperçois, elle est vêtue comme je lui avais ordonné : Mini jupe noire (sa longueur semble correcte, elle ne doit pas descendre plus de 10 cm sous le sexe), bustier noir, seins très remontés, elle porte un foulard autour du cou et des chaussures à talons.

Elle monte à l'arrière du véhicule, suivant ainsi mes consignes à la lettre. J'attends deux minutes et m'approche de la voiture, elle est allongée sur la banquette, le foulard noué autour des yeux. Elle avait accepté de ne pas voir son nouveau maître avant que je ne le décide. Je lui dis bonjour et lui demande si elle accepte de m'obéir, elle répond "oui maître" timidement, je lui ordonne de répéter car je n'ai entendu qu'un balbutiement, elle s'exécute "OUI MAITRE". "Parfait, nous pouvons y aller".

Je démarre la voiture, Véro ne voit rien, elle ignore tout de ce qui va se passer. Deux kilomètres plus loin, j'immobilise la voiture dans un petit chemin tranquille. "Descends de la voiture, mets toi debout les jambes écartées, les mains dans le dos!" lui dis-je sèchement. Elle obéit sans broncher, je sens qu'elle est inquiète, quant à moi je suis très excité par cette aventure. Je l'observe, la contourne, touche son visage, son corps, elle frisonne. Je glisse une main sous la jupe, elle fait un pas en arrière. "Reviens où tu étais!", elle revient écarte les jambes comme je lui avais ordonné plus tôt. Ma main glisse sous la jupe, je vérifie la hauteur , c'est OK, elle ne porte pas de culotte, je l'en félicite.

Je continue mes investigations, les lèvres de son sexe sont très longues, comme elle me l'avait confié au téléphone, je les pince et tire légèrement dessus, elle gémit. J'apprendrai par la suite que cette partie de son corps est capable d'endurer beaucoup plus et qu'elle y prend énormément de plaisir. J'enfonce un doigt dans son sexe humide, puis deux puis trois. Je retire ma main et lui promets que la prochaine fois elle devra avaler ma main entière, elle répond par un "oui maître si cela vous plaît".

Je découvre petit à petit son corps, je suis très excité, mon souffle est court, elle ne m'a toujours pas vu et cela l'inquiète et la mets dans un état fébrile à la fois. Elle me demande d'enlever le bandeau, je refuse. Je lui dis de se mettre devant la voiture penchée en avant, les mains sur le capot, je vois ainsi le début de ses fesses, elle maintient ses jambes écartées. Je vais à l'arrière de la voiture et ouvre ma mallette, elle contient divers accessoires pour ma soumise. Je sors deux chaînes et un collier, je les passe devant son visage, puis sur ses lèvres. "Qu'allez-vous faire, me demande-t-elle?" "

Je vais te traiter comme tu le mérites, tu es une chienne et tu seras traitée ainsi!" Aussitôt, je lui attache le collier autour du cou, puis je lui attache la première chaîne autour de la taille sous sa jupe que j'ai relevée (elle a ainsi les fesses à l'air), j'en profite pour lui donner quelques claques pour faire rougir son arrière train. Je serre la chaîne assez fort, elle se cambre, je lui donne une nouvelle claque pour la remettre en place. Ensuite je passe l'autre chaîne entre ses jambes en l'incrustant bien dans la raie des fesses et en passant entre les lèvres de son sexe (que j'écarte sans ménagement), je la relie à la chaîne déjà en place, ce qui lui fait un adorable string.

Je lui fais faire quelques pas pour que la chaîne se mette bien en place et la fais remonter à l'arrière du véhicule. C'est un nouveau départ Véro tient ses promesses, elle fera une bonne soumise... Je fais route vers un hôtel que j'ai repéré en venant ( Hôtel avec hôtesse pour donner un peu de piment et faire monter l'adrénaline de Véro). Je descends de la voiture, je recommande à Véro de ne pas bouger, je réserve une chambre, reviens et donne mes instructions à ma soumise.

" Dès que je serai éloigné de la voiture, tu retireras ton bandeau, prendras la clé de la chambre, monteras à l'hôtel (elle doit passer devant l'hôtesse!). Dans la chambre, tu retireras ton bustier, relèveras ta jupe à ta taille, accrocheras la laisse que je te donne à ton collier. Ensuite tu remettras ton bandeau et attendras à quatre pattes sur le lit les fesses vers la porte pour que je les découvre en arrivant!". Elle est réticente, mais obtempère dès mon départ.

Sa démarche est particulière avec la chaîne qui frotte son sexe et son cul. J'attends un bon quart d'heure et je monte, je passe une première fois devant la porte pour lui faire croire que quelqu'un passe devant la chambre (elle n'est pas fermée et ensuite elle m'avouera avoir eu peur qu'un inconnu vienne), je reviens quelques instants plus tard et ouvre doucement la porte, elle attend et frémit en m'entendant.

Après avoir loué son obéissance stricte à mes ordres, je sors les accessoires de ma mallette et les dispose devant elle sur le lit : un gode, un plug de bonne taille, un martinet, des pinces et deux petites chaînes ainsi que diverses cordes. Je lui enlève le bandeau en restant derrière elle, elle découvre ahurie ce qui est devant elle, puis la surprise passée, elle essaye de se retourner.

Je m'y attendais, et je l'en empêche. "Ferme les yeux, il n'est pas encore temps!" lui dis-je, "ne bouges pas, je vais me mettre devant ton visage, mon sexe à hauteur de ta bouche, tu vas l'avaler et ensuite tu ouvriras les yeux", "oui maître" dit-elle à haute voix. Elle avale mon sexe et ouvre les yeux, mon sexe dans sa bouche l'empêche de relever son visage, elle ne peut que lever les yeux et je vois un sourire de contentement dans ses jolis yeux bleus.

Elle me suce avec application, juste avec sa bouche, sans me toucher avec les mains. Je lui explique qu'à partir de maintenant elle devra me dire bonjour ainsi, accroupie, à genoux ou à quatre pattes, elle devra ouvrir mon pantalon et prendre mon sexe dans sa bouche chaque fois que nous nous rencontrerons. Elle approuve en dodelinant de la tête.

Pendant qu'elle poursuit son ouvrage, je lui explique ce que j'attends d'elle : "Je veux que tu sois une parfaite petite pute! Très obéissante, prête à souffrir pour le plaisir de ton maître! Ton éducation sera progressive, je veux faire de toi une véritable esclave car tu es faites pour obéir!" "Je ferai tout pour vous être agréable maître, vous pouvez disposer de moi comme bon vous semble, je veux vous appartenir!" Nous venions de franchir une nouvelle étape, confirmant la première par laquelle elle me faisait confiance.

Le reste de l'après midi, elle me confirma ses bonnes dispositions, elle accepte avec un certain plaisir les fessées ainsi que les différentes contraintes que je lui impose avec des liens, des pinces au bout de ses seins ou sur les lèvres de son sexe. Elle apprécie particulièrement de se faire étirer celles-ci, soit avec mes doigts, soit avec des pinces elles-mêmes reliées à une cordelette sur laquelle je peux tirer à loisir alors que Véro est emprisonnée par des cordes qui l'entravent mains, seins et jambes.

Avant de la quitter, je lui ai fait le plaisir (comme je le lui avais promis) de lui enfoncer ma main entière dans le sexe. Cette dernière épreuve, qui dura un certain temps, me permis de constater combien son plaisir était intense dans cette situation, la voir jouir autant et être dégoulinante de plaisir me donnait un plaisir intense.

Ces rencontres se poursuivent quelques semaines, Véro toujours impatiente de réaliser ce que j'exige d'elle. Au bout d'un mois et demi environ, deux éléments viennent "pimenter" notre relation. Lors de nos bavardages téléphoniques, Véro m'avoue avoir rencontré, depuis que je la connais, un homme et qu'elle a passé quelques heures avec lui.

J'estime qu'il s'agit d'un manquement grave à notre relation et lui promet une sévère punition. Elle en convient et je la soupçonne fortement d'être tout à fait lucide pour me provoquer et éveiller ma jalousie. Le deuxième événement est une vulgaire panne de voiture. Son mari travaille à l'extérieur de Paris et se trouve sans véhicule pendant une semaine. Je propose donc à Véro une soirée et une nuit au cours de laquelle elle sera à ma disposition. Rendez-vous est pris pour le mardi soir. Je dois la prendre chez elle.

La consigne est simple : "tu viens en jupe courte, sans culotte comme c'est la règle depuis quelques semaines, talons hauts, en complément tu porteras les boules de Geisha que je t'ai offert la semaine passée!". Sans le dire à Véro, j'avais préparé une soirée très particulière pour parfaire son éducation! J'avais demandé à un ami de me prêter son studio pour la nuit. Nous partons donc vers Paris, je préfère dans ce cas emprunter des routes secondaires moins fréquentées. Sitôt installés dans la voiture, je libère mon pantalon, attrape Véro par les cheveux et lui ordonne : "suce moi!". Elle n'a pas le choix et sait qu'elle ne doit pas résister.

Elle accomplit avec beaucoup d'application ce que je lui demande en guise de bonjour. Après m'avoir sucé 5 mn, je relève son visage et lui explique succinctement notre emploi du temps. "Nous allons à Paris, je te préparerai pour la soirée, nous irons dîner et ensuite tu devras te montrer bonne élève. Ok?, .... ok répond-elle" Véro me fait tellement confiance qu'elle ne demande même pas de précisions. Je peux ainsi mesurer son degré de soumission qui évolue au fil de nos rencontres.

A Paris, nous allons directement au studio, je la sens inquiète, serons-nous seuls où vais-je la présenter à des inconnus comme je l'ai évoqué lors d'une précédente rencontre ? Elle se rassure lorsque je sors les clés de ma poche pour entrer. Le studio est parfait, une grande pièce avec un coin cuisine. Un bureau de travail, et au dessus, un genre de mezzanine avec un lit. Une petite échelle pour y monter. " Mets toi au milieu de la pièce, appuis toi sur le bord du bureau et remonte ta jupe, j'ai envie de voir ton petit cul de salope", elle s'exécute et me dis "Oui, je ferai ce que tu veux". "En effet, ce soir je veux que tu m'obéisse au doigt et à l’œil, que tu sois toujours prête à exécuter mes ordres et que tes trois orifices soient en permanence disponibles!"

Pour lui montrer ma détermination, je lui donne une fessée douce et lui demande de rester ainsi fesses offertes et légèrement rougies. Je sors de la mallette qui ne me quitte pas un plug de taille moyenne et, après l'avoir lubrifié lui enfonce sans ménagement dans le cul. Je la relève et l'oblige à marcher dans la pièce, sa démarche est hésitante car elle est gênée par l'engin!

Cela me satisfait. "Tu le porteras toute la soirée, mais je vais pimenter le jeu en te faisant porter la chaîne que tu avais lors de notre première rencontre, tu te souviens? Oui me dit-elle." Je lui montre la chaîne en la faisant glisser le long de ses fesses et de son visage et lui passe autour de la taille. Je serre très fort pour que la marque s'incruste bien dans sa chair.

Ensuite j'attache les anneaux préalablement fixés au plug et les relie à sa taille par deux petites chaînes tout aussi tendues. Ainsi elle a la taille serrée et les petites chaînes tirent sur le plug pour le faire encore plus pénétrer dans son anus. Il est temps de sortir, nous marchons quelques temps dans la rue, près du Châtelet, il est 19 ou 20 heures, il y a foule en cette fin juin dans Paris. Véro se cramponne à mon bras, elle est terrifiée à l'idée que tous les hommes qui nous croisent, imaginent ce qu'elle a sous sa jupe, cette sensation est amplifiée par le fait que sa démarche lui semble anormale avec le plug qui lui déchire les entrailles.

Je prends un certain plaisir à me dérouter le plus possible, à monter et descendre des dizaines d'escaliers que nous pourrions éviter. A chaque marche elle plaque sa jupe sur ses cuisses, mais je lui prends la main et l'en empêche. Nous arrivons enfin au restaurant, j'y ai donné rendez-vous à un couple d'amis, Alain connaît parfaitement ma relation avec Véro et je lui ai expliqué comment je l'amènerai ce soir. Sa femme, Catherine, ignore tout, mais Alain envisage de l'éduquer comme Véro.

Le repas est très animé, nous plaisantons, Véro est très mal à l'aise, je lui demande d'aller aux toilettes et de retirer son soutien gorge, elle me glisse à l'oreille : "Ce n'est pas possible, tout le monde va voir mes tétons en érection!", "Si, j'insiste!" lui dis-je à voix haute. Alain s'imagine ce que je lui demande, mais sa femme me demande :"Pourquoi insistes-tu?", "Véro, comme beaucoup de femme a besoin d'être encouragée et parfois même dirigée, tu comprends?" lui dis-je, "Oui dit-elle, j'ai aussi besoin d'Alain dans certaines circonstances".

Ces précisions m'ont, à la fois, permis de montrer à Catherine quel était ma relation avec Véro et de la préparer à ce qu'Alain ne manquerai pas de lui demander sous peu de temps. Véro est revenue des toilettes, ignorant tout de notre conversation. Elle est toujours sur ses gardes et n'ose pas se confier à Catherine. Mais cette dernière remarque l'absence du soutien gorge et lui demande - "C'est pour cela que Jacques insistait tout à l'heure?", -"Oui" répond Véro très gênée une nouvelle fois. -"Depuis quand connais-tu Jacques? Tu aimes qu'il dirige ta conduite? Tu y prends du plaisir?", -"Je le connais depuis 3 mois, pour les autres questions, c'est oui et oui" répond-elle à voix basse.

La situation s'éclaircit, Catherine et Véro connaissent nos intentions et cela devrait simplifier nos relations. Après ce dîner très fructueux, nous prenons congé et repartons chacun de notre côté, j'espère qu'Alain pourra me narrer l'évolution de sa relation avec Catherine. Mais ce soir, je me consacre à Véro et j'espère que le plaisir sera au rendez-vous. Nous regagnons le studio, Véro toujours gênée par son string particulier et unique. Arrivés à "domicile", j'ordonne à Véro de se dévêtir et de me tendre ses poignets, elle obtempère. Je lui attache les mains avec une corde rêche, lui attache le collier de chien autour de son cou et passe la corde dans l'anneau du collier.

Tout cela sans dire un mot. Elle m'a confié plus tard que le fait d'être attachée lui procurait un plaisir intense, se savoir ainsi immobilisé et sans défense était pour elle très jouissif (pour moi aussi d'ailleurs!). Je la conduis sans ménagement vers le bureau et la plaque sur ce dernier, les seins bien écrasés sur le plateau. Ainsi, ses fesses sont bien exposées et j'en profite pour les faire rougir une nouvelle fois, elle gémit mais ne proteste pas. "La nuit ne fait que commencer.

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